Présentation d'une disciple Féca. [Kihwi]

Hello', membres Peaces !

Je me présente brièvement, que vous sachiez à qui avoir faire affaire sur le Forum, que vous me connaissiez un minimum.

Ma vie IRL :

Âge : Pas important.
Prénom : Pas important.
Disponibilités:
Lundi : Disponible rarement en jeux, et disponible sur Forum.
Mardi : Disponible rarement
Mercredi : Disponible rarement.
Jeudi : Disponible rarement en jeux, et disponible sur Forum.
Vendredi : Disponible en fin de journée et le soir.
Samedi : Disponible une partie de la Journée et le soir.
Dimanche : Disponible la journée.


Petit extrait du RP de Kihwi :

Petit extrait du Back Ground de Kihwi :

Citation :

Tue son dernier Tofu et sort l’encre de Kralamoure de son sac

Bonjour, je suis Kihwi, disciple Fécatte. Je suis née de Del-Toon et Kazan, tout deux Mercenaires Stères. J'ai l'habitude d'aller Prier tout les matins au temple Féca, pour lui rendre honneur, c’est pourquoi je lui ai prêté allégeance.
J’ai commencé à m'intéresser à l’alchimie dès l’âge de onze ans. Je commençais déjà à gambader dans les champs à la recherche de fleurs aux pouvoirs mystérieux. Chaque jour, j’en apprenais davantage sur les plantes et les potions qu’elles pouvaient embellir, grâce surtout à un petit livre que m’avait offert mon père. Je travaillais dur pour cette passion dont je voulais faire mon métier.
Un jour, après une dure journée à rechercher des Orchidées sauvages de qualité, je me rendis au QG Stère pour voir si mon père travaillait encore. Je fis alors la rencontre de Chuchundra qui voulait faire plus ample connaissance :

- Bonjour à vous mademoiselle ! Quel âge avez-vous pour travailler aussi durement.
- J’ai onze ans.
- Onze ans et vous me paraissez avoir travaillé toute votre vie.
- C’est que j’aime l’alchimie, monsieur.
- Hm… Je vois…

Il me parla alors de son père Chuchundra 1^er qui était alchimiste. Il me raconta qu’il était parti à Bonta sur un coup de tête pour monter un atelier. « Ce Féca a un peu perdu la boule » m’avoua-t-il. Il me fit tout de même part de son adresse pour que je puisse me renseigner et en apprendre plus.
Je fabriquai alors une potion de cité pour me rendre au plus vite à Bonta. Je faillis me perdre à plusieurs reprise mais de sympathique miliciens m’accompagnèrent jusqu’à la maison qui se trouvait dans le quartier des alchimistes. Je toquai alors à la porte :

- Mouais ? C’est pourquoi ?
- C’est votre fils qui m’envoie, monsieur !
- Pffff…. Mon fils…
- Oui, il m’a dit que vous vous y connaissiez en alchimie et j’aimerais en apprendre plus.
- Il n’a jamais voulu faire alchimiste comme son père ! M’enfin… Une jeune élève ne fera pas de mal à personne. Tu as de quoi payer des cours et le logement ?

Je sortis alors une bourse de 3'000 K que m’avait prêté Maitre-Chuchundra, prévoyant de la réaction de son avare père. Malgré cela, j’eus appris plein de chose merveilleuse sur l’alchimie. Les potions de souvenirs, les teintures et les potions de petits soins n’avaient plus aucun secret pour moi ! Mais vint le jour de l’accident ! Alors que je lisais un bouquin sur les fleurs, je me rendis compte que j’avais horriblement soif. Je descendis vers l’atelier pour voir ce que j’y trouvais. J'Aperçue une grosse fiole sur la table, sans étiquette, et dont le contenu ressemblait étrangement à de l’eau. Je me précipitai dessus pour la boire. C’est à ce moment que je vis une petite inscription sous la bouteille : « Potion de vieillesse raffinée à la poussière temporelle ». Je me tordis de douleurs ! Mes bras, mes jambes, mon ventre,… tout me faisait horriblement souffrir. Ma voie sembla changer subitement. Une fois que j’eus retrouvé mes esprits, je me levai et je me regardai dans le miroir en face de moi. Je remarquai que j’étais plus grande et que j’étais plutôt bien formée. « Mais… J’ai grandi ! » Pensais-je. Je repris la bouteille et je vis à côté du nom de la potion : « 10 ans d’âge supplémentaire ». J’avais 21 ans dorénavant ! Je commençai à paniquer et, sous la pression, je m’emparai de mes affaires pour retourner à Astrub.

Pyccoleau s'avança dans la taverne avec une bière en main, un grand sourire aux lèvres. Elle aperçut le parchemin que clamait haut et fort la jeune feca.
Elle écoute l'histoire avec attention et s'exclama une fois l'extrait finit :

"On en veut encore, ioupi !"

Vive les Fécas !